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Correspondance avec Jean-Théophile Blumereau (1888-1899)
Lettre de Blumereau à De La Croix du 21 janvier 1889, page 2

En ficelant vos boites, on en trouve une petite que je ne reconnais pas pour m’appartenir ; comme elle est vide, je ne vous l’adresse pas ; lorsque vous viendrez vous verrez si vous la reconnaissez.
Veuillez bien agréer, mon Révérend Père, l’expression de notre respectueux et très affectueux dévouement.
Blumereau